Seigneur, c’est quand je parle de Toi que je te connais !

L’aimer pour ce qu’il est…

Souvenez-vous du visage de l’homme le plus pauvre et le plus faible que vous ayez jamais vu.

S’il y a un pauvre chez toi, l’un de tes frères, dans l’une de tes villes, dans le pays que yhwh ton Dieu te donnes, tu n’endurciras pas ton cœur et tu ne fermeras pas ta main, mais tu lui ouvriras ta main toute grande.

Ici-bas, je n’ai peur de rien ni de personne, en vérité. pas même d’un ange. Mais le gémissement du mendiant me donne le frisson.

« Voici je me tiens à la porte et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte… »

« Je n’ai pas eu la chance de rencontrer les bonnes personnes au bon moment… »

Dieu, il est affolé quand un homme se perd, comme une maman quand elle perd un enfant.

Il n’y aura pas de pauvre chez toi.

Vous voulez trouver le feu ? Cherchez-le dans la cendre.

Les plus pauvres sont l’artère par laquelle il faut que le sang coule pour irriguer tout le corps. Si l’artère est obstruée, le corps tout entier meurt. Pour l’Eglise, c’est une question de vie ou de mort. Si la grâce passe par eux, tout est irrigué

Qui humilie le pauvre outrage son créateur.

Quand on est tous ensemble à se parler, on est en vie éternelle.

Si tu es l’ouvrage de Dieu, attends tout de sa main. Livre-toi à Celui qui peut te modeler, laisse-toi ouvrager.

En cette heure là, Jésus exulta dans le souffle saint et il dit : « Je te bénis Père, Seigneur du ciel et de la terre car tu as caché cela à des sages et des intelligents et tu l’as dévoilé aux petits. Oui, Père car c’est ainsi que tu trouves ta joie. »

La différence entre les riches et les pauvres, c’est que les riches, ils ne pensent pas aux pauvres, alors que nous, on pense sans arrêt aux riches…

Si tu es l’ouvrage de Dieu, attends tout de sa main. Livre-toi à Celui qui peut te modeler, laisse-toi ouvrager.